Les TĂ©moignages

Sur cette page des témoignages de personnes qui ont passées un moment dans l’école à observer nos ambiances.

Témoignage de Laurent Farcy suite à l’atelier musique du 15 octobre

Un retour sur cette soirée passionnante :

« Le monde musical est vaste et c’est avec plaisir que j’ai découvert les techniques utilisées par Michel pour appréhender cet univers avec nos enfants.

J’ai été surpris par la « profondeur » de cette initiation et je suis surtout parti avec l’envie de venir le Mardi….

La passion transpire à chaque instant, les supports sélectionnés mettent à portée les notes, les sons, le rythme et la lecture en passant par les silences, les clefs, les gammes et toute la richesse de ce monde qui va au-delà du simple son.

Nous nous sommes tous laissés prendre au jeu, seule l’heure tardive nous a amené à terminer cet échange passionnant qui à mon souvenir n’existe pas en cursus scolaire habituel.

C’est un beau cadeau pour les enfants. »

Laurent.

Témoignage de Madame MARIE-HELENE BERNARD

Observation dans l’école d’Evry EMMI91, le jeudi 24 mai – ambiance 3-6.

Passé le portail, la grande cour avec les hauts arbres donne l’impression d’une clairière au milieu de la forêt : le lieu est apaisant. L’école a de larges baies apportant la lumière naturelle. (…) J’y ai vu des enfants heureux, curieux, coopératifs, libres – mais encadrés-, autonomes, avec des plages de travail de 2 heures 1/2 permettant la concentration, la possibilité de recommencer et continuer le travail aussi longtemps qu’ils le souhaitent, à leur rythme, la possibilité de choisir leur travail ( à partir du moment où le matériel leur a été présenté), la possibilité aussi de se reposer, le mouvement constructif ; et la joie, la lumière dans le regard d’une enfant qui a été « nourrie » par la première présentation de la boite 3 des couleurs…

A EMMI 91, Muriel BOUCHON par son savoir-être et son savoir-faire, (accompagnée de Marie MOURGUYE), a réussi le subtil équilibre entre les enfants, l’équipe pédagogique (et l’ensemble du personnel), et les parents ; c’est une école Montessori bienveillante, où il fait bon être.

Témoignage de Madame NAWAL MRINI

Sur la base de ma vocation à devenir professeur des écoles révélée assez jeune, j’ai poursuivi des études littéraires puis d’anglais jusqu’à mon intégration de la préparation de concours au sein de l’IUFM de Paris. Principalement du fait d’un manque total de formation, j’ai dû prendre, à regret, la difficile décision d’arrêter et de tenter une réorientation vers une autre voie professionnelle me passionnant tout autant, sans grand succès. Quinze ans après, n’ayant jamais fermé la porte à l’éventualité de pouvoir reprendre ma vocation et devenant maman, j’ai entendu parler et me suis progressivement intéressée, à la pédagogie Montessori. Une réflexion a alors émergé sur la possibilité de faire le lien entre mon désir d’enseigner aux enfants et la formation pédagogique au métier d’éducatrice Montessori à l’AMI. Afin de confirmer ou non cette idée, j’ai eu l’opportunité, à ma demande, de pouvoir observer durant 2 jours une classe d’élèves de 3-6 ans puis durant 1 journée les 6-12 ans au sein de l’école Montessori d’Évry. J’ai ainsi pu voir en situation l’application de la pédagogie Montessori et en ressort émerveillée. Cette pédagogie déconstruit pour mieux reconstruire toutes les méthodologies du système « classique » avec une approche incroyablement logique, intuitive et intelligente car intelligible. Je trouve cette méthode révolutionnaire et envisage très sérieusement de m’engager de nouveau dans la voie de l’enseignement grâce à la méthode Montessori. Cette expérience s’est avérée extrêmement positive et l’accueil qui m’a été réservé a été très chaleureux et bienveillant. Ainsi, je ne remercierai jamais assez l’équipe (en particulier, Marie et Muriel) et les enfants de l’école Montessori d’Évry de m’avoir permis de découvrir cette incroyable méthode qu’est la méthode Montessori.

Mai 2018

 Témoignage de Madame NADAU COURT LECLECQ Maud

Etudiante Montessori en stage du 8 au 12 Janvier. Elle est également directrice d’une école Montessori à Sainte Bazeille (Lot et Garonne) depuis 2014.

« En observation d’éducateur Montessori pour l’école élémentaire à l’ISMM de Montpellier. J’ai effectué un stage d’observation d’une semaine à l’école EMMI.91 dans la classe des 6/12 ans.
J’observe le déroulement de la journée, les interactions et le comportement des enfants afin de m’exercer à identifier les caractéristiques des enfants de 6/12 ans pour mieux mettre en pratique la pédagogie Montessori.
Je remercie les enfants et l’équipe pédagogique pour leur accueil. »

 

Témoignage de Nancy

En visite à l’école le 6 Octobre 2017

Depuis l’arrivée de mon fils, je sens bien que l’école traditionnelle ne correspond plus à mes convictions, en tant que maman mais aussi en tant que professeur. Mes lectures sur les écoles alternatives, où l’autonomie est au cœur des apprentissages, m’ont enthousiasmée ; je voulais voir ce que cela pouvait être non plus sur le papier mais avec de vrais enfants. Muriel Bouchon m’a permis de vivre cette expérience en m’accueillant dans sa classe le 6 octobre 2017. J’ai ainsi passé une journée avec les 6-12 ans.

Assise dans un coin de la classe, j’observe. Muriel m’a demandé de ne pas trop intervenir, mais les élèves viennent tour à tour me parler avec un tel naturel ! Ils viennent pour me poser des questions sur moi, pour que je les aide ou juste pour me parler de la vie de la classe, puis ils repartent à leurs activités. Il n’y a pas de récréation en dehors de la pause méridienne, mais chacun fait une pause, à sa manière, quand bon lui semble, et cela ne pose pas de problème. Les tablées évoluent, il y a plus de mouvement dans le milieu de la matinée mais quelques simples rappels du type « Tu as fait tes maths et ton langage ? » suffisent.

Je suis frappée par l’autonomie de ces enfants dans leur travail. Le vendredi était le jour de la dictée : tous en font une, à un moment ou un autre, par petits groupes, avec Muriel. Par ailleurs, Muriel a collé ou prévu une activité pour chacun mais une fois cette activité réalisée dans les deux cahiers, le reste est libre. Alors l’une choisit sa fiche de mots invariables et s’autoévalue, l’autre demande à son voisin de l’aider car elle ne comprend pas la leçon proposée puis complète un exercice d’un plus jeune sur les nombres qu’elle juge incomplet ; pour un même exercice, l’une vient prendre ses 6 crayons de couleur d’un coup, l’autre fait huit allers-retours et me parle de son exercice pendant qu’il taille un à un tous ses crayons. En fin de matinée et l’après-midi, les cahiers jaunes et bleus terminés, les activités se diversifient : observation d’une maquette du système solaire dans le noir dans le couloir, étalage des carrés de 9 sous forme de barrettes de perles sur le grand tapis central, découpage et pliage de formes géométriques complexes, lecture libre de livres ou de poèmes, présentation de nouveau matériel pour apprendre à poser les divisions, etc. Un seul n’a pas fini son travail à midi ; il le reprend alors avec Hugo avant de déjeuner.

L’autonomie, c’est faire des choix pour soi : « Mmm… Par quoi je commence ? », « Je te donne une activité ou tu vas trouver toute seule ? », « Tu travailles ou tu restes assis à ta place mais tu ne déranges pas ». Ce choix peut se faire après un long moment d’observation des autres, mais on sent que cela a son sens, sa place. J’aimerais alors laisser cette respiration à mes élèves, leur permettre parfois de ne rien faire, de s’isoler. Je pense aussi à mon fils qui se plaint sans cesse du bruit et de l’agitation dans sa classe…

Ce qui m’a le plus touchée, c’est le calme qui règne dans la classe. Les élèves arrivent de façon échelonnée entre 8 et 9 heures : pas de précipitation avant la fermeture de la grille, on peut discuter quelques minutes à l’entrée, prendre le temps de s’installer. Chacun choisit sa tablée  – de une, deux, quatre tables. Chacun sait quel est son travail : langage et mathématiques pour la matinée. Seuls deux temps de collectivités d’une petite demie heure : une petite musique annonce le début du rassemblement qui se fait tranquillement puis commence un débat sur les gros mots et un vote avec des cartons de couleur pour évaluer l’ambiance de la matinée. Le temps semble ne pas être le même !

Je repars plus que jamais désireuse d’apporter autre chose à ma pratique : il paraît tellement évident que dans un cadre aussi serein respectueux de chacun les apprentissages prennent plus de sens.

Un grand merci à Muriel Bouchon pour ce moment de partage, ainsi que son équipe et sa classe pour l’accueil qui m’a  été fait.

Témoignage de Faustine Chevet :

Lundi 11 janvier 2016, j’ai eu la chance d’être accueillie à l’école Montessori d’Evry par la fondatrice, Muriel Bouchon.

Comme beaucoup d’entre nous, j’avais entendu parler de Maria Montessori et de la pédagogie développée mais cette fois-ci j’avais l’opportunité de franchir le seuil de la classe des 6/12 ans !

Arrivée à 9h, Muriel me propose de m’installer dans un coin de la classe pour observer les enfants.

La disposition de la salle de classe n’est pas classique. Les tables ne sont pas alignées mais rassemblées par 4, en binôme ou parfois isolées. Les enfants se déplacent à leur gré. La majorité des élèves travaille assis à un bureau, une au sol sur un tapis, un autre allongé sur une banquette. Entre chaque exercice, les enfants changent de table, de position, de camarades.

Le silence ne règne pas mais le calme est respecté. Lorsque certains enfants deviennent un peu bruyants, ceux ayant des difficultés à se concentrer vont éteindre la lumière et demande le silence. Lumière éteinte, les enfants se taisent et s’immobilisent pour écouter la requête. Ce matin-là, la lumière s’est éteinte à trois reprises.

Je remarque rapidement que les élèves se respectent et s’entraident.

La maîtresse, Muriel, ne lève jamais la voix mais rappelle les élèves à leurs exercices. Elle passe de table en table pour voir chacun d’eux et suivre leur avancées, les encourager, les accompagner.

Le rythme de l’enfant est respecté tout en étant cadré.

Pas de récréation mais dans la mesure où les enfants vaquent à leurs occupations sans être rivés à une table, ils ne semblent pas gênés.

J’ai passé une très belle matinée, appris beaucoup de choses. Merci aux enfants de m’avoir acceptée dans leur classe et merci à Muriel !

 

Témoignage de Xavier Roussel :

Début octobre, j’ai pu participer à une matinée dans la vie l’école.

Trois mots pour résumer ce court passage au coeur de l’action scolaire : calme, autonomie, motivation.

Calme : en arrivant après les premiers élèves, j’ai été surpris du faible niveau sonore qui régnait dans la classe de Muriel. Les 5 ou 6 premiers élèves chuchotaient plus qu’ils ne parlaient. Et même à l’heure la plus dense de la matinée, le bruit ambiant m’est apparu étonnament faible par rapport à ce que j’ai pu voir dans d’autres classes, lorsqu’on laisse les élèves gérer eux-mêmes leurs activités.

Autonomie : habitué au système classique de l’Education Nationale, j’ai été surpris par tous ces enfants qui, dès le lundi matin, sans qu’on leur donne aucune directive, se lancent dans leurs travaux sans attendre qu’un adulte ne les pousse à s’y mettre.

Cette autonomie se traduit également dans la répartition que les enfants effectuent entre travail individuel, échanges avec les copains/copines, activités moins scolaires ou travail collectif.

Tout cela se déroule (presque) sans interventions de la maîtresse mais, surtout, sans les sonneries ou les découpages horaires qui rythment les différentes étapes d’une journée d’école “classique”.

Ces remarques sont également transposables à la classe des plus petits. En observant leur façon de gérer leur matinée, j’ai mieux compris comment les plus grands acquièrent cette autonomie.

Motivation : les enfants que j’ai pu observer sur ce court laps de temps semblaient tous déterminés à finir chacune des activités dans lesquelles ils s’engageaint.

Du grand qui termine consciencieusement son exercice de géométrie au petit qui ne lâche son puzzle qu’après l’avoir terminé, j’ai été surpris par cette attention qu’ils portent à ce qu’ils font.

Quant aux éducatrices et aux intervenants adultes, je conçois mieux leurs motivations depuis que je les imagine voir grandir chacun des élèves à leurs propres rythmes, en profitant des conseils de ces adultes qui les assistent plus qu’ils ne les contraignent.

Je remercie toute l’équipe et les enfants de m’avoir accepté parmi eux pendant ces quelques heures. Ils m’ont permis de voir un peu plus concrètement une partie de ce que Muriel raconte avec passion sur cette méthode Montessori que je ne connaissais pas.

Xavier Roussel

 

Témoignage de Bruno Catarsi

Le plaisir m’a été offert, le 19 novembre dernier, d’intégrer en tant qu’observateur la classe de niveau primaire de Madame Muriel Bouchon, à l’Ecole Montessori d’Evry.

L’utilisation du verbe «intégrer» n’est en rien due au hasard tant l’expérience de cette matinée au sein de l’établissement, dont je ne connaissais alors que de manière imprécise et théorique les fondements scientifiques sur lesquels se base la pratique éducative, fut dès mon arrivée calée sur une pénétration et une introduction progressives d’un environnement éducatif nouveau.Me présentant sur les lieux à 8h30, comme convenu, et fort d’une probable déformation professionnelle due à mon expérience au sein de l’enseignement secondaire public, j’ai été (positivement) surpris et ai pu apprécier à sa juste valeur la manière relativement rapide et surtout très discrète, sur un mode de conversation chuchoté, avec laquelle Muriel m’a accueilli, ceci afin de perturber le moins possible les sept élèves déjà présents et mis au travail. L’équilibre en termes de conditions de travail ainsi instauré dès le début de la journée m’a semblé dès lors parfaitement étudié et trouvé, vu l’apparente indifférence à mon installation dans la salle de classe manifestée par les sept enfants déjà présents (je m’attendais, au contraire, à apparaître comme un sujet/objet d’attraction/distraction et ai pu constater qu’il n’en était rien – Pourrions-nous y voir, en parallèle, l’existence d’un phénomène d’habituation des élèves quant au fait d’intégrer un nouvel individu adulte au sein de l’espace ?). L’efficience de la construction de cet environnement de travail ne m’a été réellement révélée qu’une fois que la totalité des élèves (au nombre approximatif de 25) fut arrivée.Trois facteurs clés me semblent en déterminer la qualité :1. L’organisation de l’espace par îlots (bureaux individuels, doubles, quadruples) et par pôles d’activités, qui permet l’instauration et le développement de deux paramètres essentiels de la vie de classe :− Le caractère individuel et ciblé des échanges : L’enseignant n’intervient que très rarement de manière magistrale, face à l’ensemble du groupe classe. Les échanges se font au cas par cas, selon un principe de pédagogie différenciée, et à un niveau sonore très faible.− L’ouverture de l’espace et le déplacement : De par l’organisation de la salle de classe par pôles, les enfants sont amenés à se déplacer au sein d’une même séance. La mobilité est en outre autorisée, permettant, on peut le supputer, une meilleure appréhension de la complémentarité des prismes cognitif et physique (sans évoquer, bien entendu, la dominante kinesthésique sur laquelle semble se baser la théorie montessorienne). L’on remarquera, à cet effet, l’existence d’une aire de travail moins conventionnelle rendant possible l’adoption d’une posture allongée (le grand tapis), ainsi que l’équipement individuel des élèves (chaussons et vêtements confortables) qui permet davantage d’aisance physique et une meilleure prise en compte de « l’intelligence du corps » et de la corrélation esprit/corps.2. La transversalité des échanges et leur démultiplication, caractérisées par le décentrage du positionnement de l’enseignant (absence de rapport frontal/magistral, déplacements) et la recherche d’entraide réciproque entre les élèves.

La responsabilisation des enfants (au travers de la gestion de la vie de classe, notamment – Exemple du rituel de l’extinction des lumières) et l’autonomie qui leur est accordée (le choix de leurs activités). De ce dernier élément, découle alors la problématique du « périmètre » savamment construit et délimité par l’enseignant. Dans quelle mesure l’élève est-il à même d’exercer son libre choix, et de quelle(s) manière(s) appréhender les éventuelles contradictions pouvant exister entre les désirs de l’enfant, à qui le choix de l’organisation de son apprentissage semble être donné, et l’impératif de s’assurer de l’atteinte du niveau requis pour le passage en 6e d’enseignement secondaire traditionnel (exemple de l’élève passionné de mathématiques qui ne souhaiterait qu’étudier les mathématiques) ?

Dans cette continuité, une question reste pour moi partiellement en suspens : la socialisation des élèves entre pairs. Il ne m’a certes pas échappé que plusieurs enfants faisaient preuve d’une aisance relationnelle réelle (vis-à-vis des adultes notamment) et que le changement d’activité au cours de la matinée coïncidait souvent avec le changement de leur(s) partenaire(s) de travail. Un beau moment de vivre-ensemble a eu lieu en fin de séance, autour du grand tapis et de la démonstration de tours de magie par certains des apprenants.

Cela s’avère-t-il néanmoins suffisant ? Qu’en est-il de la pause récréative en groupe de milieu de matinée et, surtout, de la construction de « l’esprit d’équipe », de « l’esprit de corps » et de l’apprentissage de la notion de « cause commune », si trop d’individualité est concédée ? Comment mettre en œuvre l’acquisition des compétences sociales, relationnelles et civiques essentielles à la construction de l’individu et à son positionnement dans un groupe, dans ce contexte ? N’étant en aucun cas spécialiste de l’enseignement primaire, l’ensemble des propos énoncés ici n’est à envisager qu’à travers le spectre d’un observateur non initié, et en réponse à l’exercice demandé par Muriel. Force est d’admettre qu’il est assurément regrettable que la frontière entre éducation classique et montessorienne soit, de manière générale, aussi peu poreuse, tant il est enrichissant de découvrir d’autres pratiques et de s’en inspirer par la même.

Je remercie, en cela, très chaleureusement Muriel d’avoir eu la gentillesse de bien vouloir m’accueillir au sein de sa classe.

S’il me fallait ne retenir qu’un terme pour qualifier mon ressenti vis-à-vis de cette matinée d’observation, ce serait celui « d’apprenant ». Il ne s’agit là que d’un point de vue très suggestif et la réalisation d’un exercice de mesure concret s’avèrerait bien sûr indispensable afin d’en vérifier la pertinence. De mon point de vue tout du moins, ce référent construit à partir d’une forme gérondive trouve ici tout son sens, au travers d’une approche dynamique, sensible et résponsabilisante de l’élève envisagé dans son individualité et son unicité.

Bruno Catarsi